C'est la fin du semestre. Se mélangent alors une double nostalgie: ma famille et mes amis commencent sérieusement à me manquer, mais c'est surtout la fin d'une expérience fantastique.
Certains s'en vont déjà, d'autres s'y préparent doucement. En 4 mois à peine, des liens forts, des expériences folles, des souvenirs indélébiles et déjà nos chemins se séparent.
En cette fin de semestre, les examens s'enchainent et les fêtes et repas d'adieux se multiplient. C'était couru d'avance, je l'ai toujours su, ce n'était que le temps d'une ellipse temporelle dans mon cursus universitaire.
Mais en erasmus, tout est plus intense: on sort plus, on boit plus, on voyage plus, on rit plus, on fait tout en plus plus plus!
On se promet qu'on se reverra, qu'on gardera contact, qu'on ira ensemble, passer le nouvel an au Kenya... Le temps d'un semestre, ces promesses sont vraies, ces liens sont forts, ces amitiés indestructibles. Mais à l'heure où sonne le glas, la brume se dissipe et la réalité reprend le contrôle.
Nous allons tous retourner à nos vies d'avant. La plupart d'entre nous allons diplômés dans l'année qui vient, et même si pour ma part je vadrouille beaucoup, il me sera impossible d'aller me perdre dans la campagne allemande, faire un saut au Portugal, visiter la Slovenie, aller en Laponie, aller en Israël, aller faire bronzette à Hawaii ou aller au Japon, en moins d'un an
J'en rêverrais pourtant, mais mon coté rationnel reprend le dessus...
Il me faudra un peu plus de recul pour faire un bilan de ce semestre, mais une chose est sure: il y aura un "avant" et un "après" Tallinn ;)
Mon retour est quelque peu retardé par mon futur voyage en transsibérien: fin juin, Emy et moi partons pour un périple ferroviaire mythique à travers la Russie, la Mongolie et la Chine!!!...
(en attente de l'acceptation des demandes de visas....)
et je pense que pendant cette traversée, j'aurais tout le temps de faire un bilan sur mon semestre passer à Tallinn
Certains s'en vont déjà, d'autres s'y préparent doucement. En 4 mois à peine, des liens forts, des expériences folles, des souvenirs indélébiles et déjà nos chemins se séparent.
En cette fin de semestre, les examens s'enchainent et les fêtes et repas d'adieux se multiplient. C'était couru d'avance, je l'ai toujours su, ce n'était que le temps d'une ellipse temporelle dans mon cursus universitaire.
Mais en erasmus, tout est plus intense: on sort plus, on boit plus, on voyage plus, on rit plus, on fait tout en plus plus plus!
On se promet qu'on se reverra, qu'on gardera contact, qu'on ira ensemble, passer le nouvel an au Kenya... Le temps d'un semestre, ces promesses sont vraies, ces liens sont forts, ces amitiés indestructibles. Mais à l'heure où sonne le glas, la brume se dissipe et la réalité reprend le contrôle.
Nous allons tous retourner à nos vies d'avant. La plupart d'entre nous allons diplômés dans l'année qui vient, et même si pour ma part je vadrouille beaucoup, il me sera impossible d'aller me perdre dans la campagne allemande, faire un saut au Portugal, visiter la Slovenie, aller en Laponie, aller en Israël, aller faire bronzette à Hawaii ou aller au Japon, en moins d'un an
J'en rêverrais pourtant, mais mon coté rationnel reprend le dessus...
Il me faudra un peu plus de recul pour faire un bilan de ce semestre, mais une chose est sure: il y aura un "avant" et un "après" Tallinn ;)
Mon retour est quelque peu retardé par mon futur voyage en transsibérien: fin juin, Emy et moi partons pour un périple ferroviaire mythique à travers la Russie, la Mongolie et la Chine!!!...
(en attente de l'acceptation des demandes de visas....)
et je pense que pendant cette traversée, j'aurais tout le temps de faire un bilan sur mon semestre passer à Tallinn